Culture : Le mantra
Posté : dim. 12 févr. 2012 20:59
Bonjours à toutes et à tous.
Suite à certaines demandes de membres, je vous propose cette nouvelle page de « L’art du Tibet » axée principalement sur la définition du Mantra. Vous y découvrirez le développement des questions suivantes : Qu’est ce que le mantra exactement ? Quelle est sa fonction principale ? A quoi sert-il ? Est ce vraiment important ? Je tiens à préciser que je reprends dans le développement à suivre, quelques lignes que j’avais déjà rédigées en réponses sur le forum, c’est pourquoi vous retrouverez peut-être des éléments déjà rencontrés sur d’autres pages.
LE MANTRA
Les mystères du mantra et sa capacité à guérir le mental, le physique et le spirituel sont très peu connus en Occident. Bien que nous connaissions tous, les formules magiques des magiciens ou des sorcières des contes de fées, nous sommes en général inconscients de la signification ésotérique de ces histoires. Ce sont en fait des références populaires aux sons subtils sacrés utilisés par les adeptes des mantras.
Beaucoup de traditions spirituelles différentes utilisent des mantras. Le mantra est une technique d'Eveil profonde et concrète, d'ouverture et de transcendance de soi. Dans l'Hindouisme et le Bouddhisme, le mantra est considérée comme une formule condensée (sacrée), formée d'une série de sons répétés de nombreuses fois et suivant un certain rythme précis. Ces sons ou ces paroles de puissance, selon la science basée sur la récitation des mantras et sur les lois physique de la vibration, produisent (donc une vibration) une purification et une transformation intérieure chez celui qui le récite. Il s’agit là ni plus ni moins que du pouvoir complexe à cerner du verbe de l’Eveil.
Cette forme spécifique de yoga (j’y reviendrai plus tard), s'adresse aux racines organiques profondes de l'être humain par l'utilisation de courants sonores vocalisés ou mentalisés de deux types de fréquences : audibles et inaudibles. Ces vibrations très subtiles réveillent des centres endormis du cerveau (la plupart d'entre eux étant encore inutilisés chez le commun des mortels), harmonisant les facultés psychologiques, physiologiques et spirituelles avec la vibration primordiale qui soutient la création : le célèbre « Ki » (en japonais, prononcé « Chi »).
Quand nous entrons en état de phase avec la fréquence vibratoire de la pulsation « sub-atomique » de la conscience (comme dans la méditation profonde), nous tenons alors la clé de l’Eveil et de l'auto-guérison. Mais nous rentrons là, dans le profond domaines des activité des différents Yoga tibétain, des chakras, de la Kundalini etc… (et ce n’est plus le sujet du départ).
Revenons au mantra. A titre d'exemple le mantra national du Tibet sont les six syllabes du Boddhisattva de la compassion : Avalokiteśvara (Tchènrézi en tibétain), appelé familièrement le Mani : Om Ma Ni Pad Me Houng.
Le terme « mantra » est dérivé du sanskrit où « man » signifie « outil de l'esprit » et le suffixe, « tra » signifie « délivrance / protection », d'où la définition usuelle de « délivrance / protection de l'Esprit ».
Ainsi, un mantra peut être considéré comme un dispositif linguistique pour approfondir la pensée, ou dans le contexte bouddhiste tibétain pour développer l'Esprit éveillé. L’honorable Kiabjé Kalu Rinpoché a (à ce sujet) insisté sur la (plus ou moins grande) difficulté parfois pour les Occidentaux de réciter des mantras. Pendant la récitation concentrée d’un mantra, l’Esprit est protégé des manifestations de l’ignorance (les pensées dualistes ordinaires…) et s’apaise.
Le mantra est donc, selon ce dernier principe, principalement un support de base à la méditation. Le but de sa pratique peut être donc un bienfait physique ou spirituel. Le mantra étant basé sur le pouvoir du son, c'est par la vibration de ce son et par sa résonance qu’il transforme son environnement, ainsi que les personnes qui le récitent. Comme le mantra est répété de nombreuses fois afin de produire un effet, il introduit donc la notion de cycle et de répétition. Par ailleurs, la justesse de la prononciation du mantra peut également être considérée comme importante : On nomme cette justesse le naad.
Bien qu'on trouve essentiellement des mantras liés à l'Hindouisme et au Bouddhisme, il n'est absolument pas lié à une langue propore, à une culture, ou une espèce animale : Dans l'absolu, il faut juste retenir que le mantra est un son qui produit un effet bénéfique !
Bien qu’au Tibet (et dans ses région avoisinantes), la tradition bouddhiste étant ancienne, et donc le résultat étant que tout le monde reconnaît que réciter des mantras a des effets bénéfiques, les Occidentaux, quant à eux ne voient souvent dans les mantras que des mots, juste une activité de la parole, et ne comprennent pas leur effet. Ils ne voient pas clairement comment ces mots peuvent agir sur l'Esprit....
L'importance (et l’effet de répétition) que les mots jouent dans nos études est pourtant très bien connue : Ils en sont un véhicule totalement indispensable ! Un proverbe tibétain souligne bien la puissance de la parole : « Les mots ne sont ni des pointes ni des tranchants, mais ils peuvent couper le cœur d'un être humain ».
Certains occidentaux, comme indiqué précédemment, pensent que les mantras ne sont rien d'autre que des sons sans aucune signification, dont la récitation est seulement une perte de temps et que c'est beaucoup mieux de méditer.
D'une certaine manière, la méditation devrait susciter encore plus de doutes que les mantras. On ne fait rien (de physiquement constructif) tout en méditant ! La réticence occidentale concernant la récitation de mantras provient de deux facteurs très important :
(1°)- L'ignorance de la fonction et du bénéfice des mantras décrit par le Bouddha ;
(2)°- Le manque de réflexion sur la précieuse naissance humaine, sur la mort et l'impermanence, sur la loi du Karma et sur le caractère insatisfaisant du Samsâra (l’existence cyclique).
Même si on a une certaine connaissance de l’enseignement bouddhiste du Dharma, si en revanche on est paresseux, réciter un mantra semble un exercice très difficile. La voie du Mantrayâna est considérée comme la voie ésotérique du Bouddhisme : Ainsi cela requiert une transmission directe par des maîtres appartenant à une lignée ininterrompue depuis le Bouddha historique Shâkyamuni. Toutefois sachez que vous pouvez réciter les mantras directement hérités des sûtras même si vous n'en avez pas reçu la transmission...
Comme je l’explique, le Mantrayâna est considéré comme la voie ésotérique du Bouddhisme. Il est souvent également appelé le « Yâna du résultat ». Le Mantrayâna est l’équivalent de la méthode. Les intentions premières et le but final sont exactement les mêmes que dans le Mahâyâna ( le grand véhicule ) mais, parce que le Mantrayâna est plus direct, et a des méthodes plus élaborées, il atteint la même destination bien plus rapidement, bien que le point de départ soit le même.
Il y a là la même différence qu’entre un voyage par le train et par l’avion. Les pratiques du Mahâyâna sont principalement des méditations mentales sur des objets donnés, mais dans le Mantrayâna, on fait en plus un énorme usage du corps (grâce notamment aux différents Yogas). En apprenant à connaître et à utiliser notre corps, nous pouvons atteindre notre but beaucoup plus rapidement.
Pour reprendre l’exemple de l’avion, comme nous le savons, beaucoup de choses sont nécessaires pour qu’un jet puisse voler, par exemple, le carburant, le vent, la conception du moteur, etc.… et, de la même manière, pour essayer d’atteindre la libération dans le Mantrayâna, il faut pratiquer non seulement par la pensée, mais par la visualisation pratique de différents mandalas, la récitation des mantras, etc.… et l’on peut être sûr que, si ces pratiques sont poursuivies correctement, la libération s’ensuivra automatiquement.
Sans trop vouloir rentrer dans les détails de ce véhicule, dans le Mantrayâna, il faut se regarder soit-mêmes comme le Bouddha. L’essence même de notre intellect et de notre organisme tout entier n’est autre que le Bouddha, le pur Bouddha, et nous avons toujours été ainsi. Cependant, nous ne le réalisons pas et nous sommes enveloppés d’illusions ; en conséquence, nous souffrons !
La voie du Mantrayâna étant considérée comme la voie ésotérique du Bouddhisme, cela requiert (comme je l’ai expliqué plus haut) une transmission directe par les maîtres appartenant à cette lignée ininterrompue depuis le Bouddha Shâkyamuni. C’est pourquoi, celles ou ceux qui reçoivent une initiation à une déité tantrique seront habilités à réciter le mantra considéré parfois comme « secret ». Cette habilitation requiert parfois d’avoir effectué des pratiques préliminaires ou accompli la retraite recommandée par le Maître Vajra.
Retenons juste pour finir, que l'explication d'un mantra, puis de son effet, est dépendante du contexte et de la déité. Il est dit que certains mantras sont plus puissants que d'autres. Ainsi, par exemple pratiquer celui de Tchènrézi est comme pratiquer toutes les divinités : Le mantra Om Ma Ni Pad Me Houng, s'il est récité avec foi, dévotion, en développant les qualités du Yidam (déité de prédilection et support de méditation), relative et ultime, peut permettre la réalisation de l'Eveil.
Diverses explications seront données par diverses personnes sur la façon dont fonctionne le pouvoir des mantras, mais le mieux est en effet sa pratique et l'expérience par soi-même de la transformation que le mantra effectue sur l'Esprit lorsque vous rencontrez des émotions négatives.
Sachez pour conclure, que nous n'avons pas obligatoirement à multiplier les mantras divers des différentes divinités, mais la seule récitation du mantra qui nous a été donné par notre Lama racine peut être suffisante pour atteindre la réalisation parfaite de l'état de Bouddha.
Suite à certaines demandes de membres, je vous propose cette nouvelle page de « L’art du Tibet » axée principalement sur la définition du Mantra. Vous y découvrirez le développement des questions suivantes : Qu’est ce que le mantra exactement ? Quelle est sa fonction principale ? A quoi sert-il ? Est ce vraiment important ? Je tiens à préciser que je reprends dans le développement à suivre, quelques lignes que j’avais déjà rédigées en réponses sur le forum, c’est pourquoi vous retrouverez peut-être des éléments déjà rencontrés sur d’autres pages.
LE MANTRA
Les mystères du mantra et sa capacité à guérir le mental, le physique et le spirituel sont très peu connus en Occident. Bien que nous connaissions tous, les formules magiques des magiciens ou des sorcières des contes de fées, nous sommes en général inconscients de la signification ésotérique de ces histoires. Ce sont en fait des références populaires aux sons subtils sacrés utilisés par les adeptes des mantras.
Beaucoup de traditions spirituelles différentes utilisent des mantras. Le mantra est une technique d'Eveil profonde et concrète, d'ouverture et de transcendance de soi. Dans l'Hindouisme et le Bouddhisme, le mantra est considérée comme une formule condensée (sacrée), formée d'une série de sons répétés de nombreuses fois et suivant un certain rythme précis. Ces sons ou ces paroles de puissance, selon la science basée sur la récitation des mantras et sur les lois physique de la vibration, produisent (donc une vibration) une purification et une transformation intérieure chez celui qui le récite. Il s’agit là ni plus ni moins que du pouvoir complexe à cerner du verbe de l’Eveil.
Cette forme spécifique de yoga (j’y reviendrai plus tard), s'adresse aux racines organiques profondes de l'être humain par l'utilisation de courants sonores vocalisés ou mentalisés de deux types de fréquences : audibles et inaudibles. Ces vibrations très subtiles réveillent des centres endormis du cerveau (la plupart d'entre eux étant encore inutilisés chez le commun des mortels), harmonisant les facultés psychologiques, physiologiques et spirituelles avec la vibration primordiale qui soutient la création : le célèbre « Ki » (en japonais, prononcé « Chi »).
Quand nous entrons en état de phase avec la fréquence vibratoire de la pulsation « sub-atomique » de la conscience (comme dans la méditation profonde), nous tenons alors la clé de l’Eveil et de l'auto-guérison. Mais nous rentrons là, dans le profond domaines des activité des différents Yoga tibétain, des chakras, de la Kundalini etc… (et ce n’est plus le sujet du départ).
Revenons au mantra. A titre d'exemple le mantra national du Tibet sont les six syllabes du Boddhisattva de la compassion : Avalokiteśvara (Tchènrézi en tibétain), appelé familièrement le Mani : Om Ma Ni Pad Me Houng.
Le terme « mantra » est dérivé du sanskrit où « man » signifie « outil de l'esprit » et le suffixe, « tra » signifie « délivrance / protection », d'où la définition usuelle de « délivrance / protection de l'Esprit ».
Ainsi, un mantra peut être considéré comme un dispositif linguistique pour approfondir la pensée, ou dans le contexte bouddhiste tibétain pour développer l'Esprit éveillé. L’honorable Kiabjé Kalu Rinpoché a (à ce sujet) insisté sur la (plus ou moins grande) difficulté parfois pour les Occidentaux de réciter des mantras. Pendant la récitation concentrée d’un mantra, l’Esprit est protégé des manifestations de l’ignorance (les pensées dualistes ordinaires…) et s’apaise.
Le mantra est donc, selon ce dernier principe, principalement un support de base à la méditation. Le but de sa pratique peut être donc un bienfait physique ou spirituel. Le mantra étant basé sur le pouvoir du son, c'est par la vibration de ce son et par sa résonance qu’il transforme son environnement, ainsi que les personnes qui le récitent. Comme le mantra est répété de nombreuses fois afin de produire un effet, il introduit donc la notion de cycle et de répétition. Par ailleurs, la justesse de la prononciation du mantra peut également être considérée comme importante : On nomme cette justesse le naad.
Bien qu'on trouve essentiellement des mantras liés à l'Hindouisme et au Bouddhisme, il n'est absolument pas lié à une langue propore, à une culture, ou une espèce animale : Dans l'absolu, il faut juste retenir que le mantra est un son qui produit un effet bénéfique !
Bien qu’au Tibet (et dans ses région avoisinantes), la tradition bouddhiste étant ancienne, et donc le résultat étant que tout le monde reconnaît que réciter des mantras a des effets bénéfiques, les Occidentaux, quant à eux ne voient souvent dans les mantras que des mots, juste une activité de la parole, et ne comprennent pas leur effet. Ils ne voient pas clairement comment ces mots peuvent agir sur l'Esprit....
L'importance (et l’effet de répétition) que les mots jouent dans nos études est pourtant très bien connue : Ils en sont un véhicule totalement indispensable ! Un proverbe tibétain souligne bien la puissance de la parole : « Les mots ne sont ni des pointes ni des tranchants, mais ils peuvent couper le cœur d'un être humain ».
Certains occidentaux, comme indiqué précédemment, pensent que les mantras ne sont rien d'autre que des sons sans aucune signification, dont la récitation est seulement une perte de temps et que c'est beaucoup mieux de méditer.
D'une certaine manière, la méditation devrait susciter encore plus de doutes que les mantras. On ne fait rien (de physiquement constructif) tout en méditant ! La réticence occidentale concernant la récitation de mantras provient de deux facteurs très important :
(1°)- L'ignorance de la fonction et du bénéfice des mantras décrit par le Bouddha ;
(2)°- Le manque de réflexion sur la précieuse naissance humaine, sur la mort et l'impermanence, sur la loi du Karma et sur le caractère insatisfaisant du Samsâra (l’existence cyclique).
Même si on a une certaine connaissance de l’enseignement bouddhiste du Dharma, si en revanche on est paresseux, réciter un mantra semble un exercice très difficile. La voie du Mantrayâna est considérée comme la voie ésotérique du Bouddhisme : Ainsi cela requiert une transmission directe par des maîtres appartenant à une lignée ininterrompue depuis le Bouddha historique Shâkyamuni. Toutefois sachez que vous pouvez réciter les mantras directement hérités des sûtras même si vous n'en avez pas reçu la transmission...
Comme je l’explique, le Mantrayâna est considéré comme la voie ésotérique du Bouddhisme. Il est souvent également appelé le « Yâna du résultat ». Le Mantrayâna est l’équivalent de la méthode. Les intentions premières et le but final sont exactement les mêmes que dans le Mahâyâna ( le grand véhicule ) mais, parce que le Mantrayâna est plus direct, et a des méthodes plus élaborées, il atteint la même destination bien plus rapidement, bien que le point de départ soit le même.
Il y a là la même différence qu’entre un voyage par le train et par l’avion. Les pratiques du Mahâyâna sont principalement des méditations mentales sur des objets donnés, mais dans le Mantrayâna, on fait en plus un énorme usage du corps (grâce notamment aux différents Yogas). En apprenant à connaître et à utiliser notre corps, nous pouvons atteindre notre but beaucoup plus rapidement.
Pour reprendre l’exemple de l’avion, comme nous le savons, beaucoup de choses sont nécessaires pour qu’un jet puisse voler, par exemple, le carburant, le vent, la conception du moteur, etc.… et, de la même manière, pour essayer d’atteindre la libération dans le Mantrayâna, il faut pratiquer non seulement par la pensée, mais par la visualisation pratique de différents mandalas, la récitation des mantras, etc.… et l’on peut être sûr que, si ces pratiques sont poursuivies correctement, la libération s’ensuivra automatiquement.
Sans trop vouloir rentrer dans les détails de ce véhicule, dans le Mantrayâna, il faut se regarder soit-mêmes comme le Bouddha. L’essence même de notre intellect et de notre organisme tout entier n’est autre que le Bouddha, le pur Bouddha, et nous avons toujours été ainsi. Cependant, nous ne le réalisons pas et nous sommes enveloppés d’illusions ; en conséquence, nous souffrons !
La voie du Mantrayâna étant considérée comme la voie ésotérique du Bouddhisme, cela requiert (comme je l’ai expliqué plus haut) une transmission directe par les maîtres appartenant à cette lignée ininterrompue depuis le Bouddha Shâkyamuni. C’est pourquoi, celles ou ceux qui reçoivent une initiation à une déité tantrique seront habilités à réciter le mantra considéré parfois comme « secret ». Cette habilitation requiert parfois d’avoir effectué des pratiques préliminaires ou accompli la retraite recommandée par le Maître Vajra.
Retenons juste pour finir, que l'explication d'un mantra, puis de son effet, est dépendante du contexte et de la déité. Il est dit que certains mantras sont plus puissants que d'autres. Ainsi, par exemple pratiquer celui de Tchènrézi est comme pratiquer toutes les divinités : Le mantra Om Ma Ni Pad Me Houng, s'il est récité avec foi, dévotion, en développant les qualités du Yidam (déité de prédilection et support de méditation), relative et ultime, peut permettre la réalisation de l'Eveil.
Diverses explications seront données par diverses personnes sur la façon dont fonctionne le pouvoir des mantras, mais le mieux est en effet sa pratique et l'expérience par soi-même de la transformation que le mantra effectue sur l'Esprit lorsque vous rencontrez des émotions négatives.
Sachez pour conclure, que nous n'avons pas obligatoirement à multiplier les mantras divers des différentes divinités, mais la seule récitation du mantra qui nous a été donné par notre Lama racine peut être suffisante pour atteindre la réalisation parfaite de l'état de Bouddha.